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 le flux RSS de Jerry Stobbart contre la Mafia

Achim Shark (site web) a dit le fantôme de Freud a encore frappé ! le samedi 14 novembre 2009
Il a un problême avec les gâteaux de sa mère ? Cela expliquerait beaucoup de choses. En effet, nous nageons en plein concept d'Oedipe : Jerry devrait avoir une raltion haine/amour avec ses parents, la "haine" pour son père et l'"amour" pour sa mère. Mais visiblement l'absence d'un Mr Stobbart a déréglé cela et Jerry a focalisé tout cet étrange sentiment d'"amour/haine" sur sa mère. Ainsi il l'aime (il accepte de vivre avec elle et visiblement ça se passe plutôt bien) et en même temps il la hait (il a honte d'elle devant le chien, il écrase son gâteau, s'en fout qu'elle ai disparu). Tout ceci a déréglé l'esprit du jeune Stobbart qui, ne pouvant supporter ces sentiments contradictoires, s'est enfermé dans une carapace d'infantilisme et s'est créé un nombre effrayant de pères de substitution (Mr. Tinkle, Fritos, le Chef).

Je sais que tout ce que je viens de dire n'a aucun sens, gardez vos pierres.
Docteur Freud a dit tout à fait mon cher Thierry le samedi 14 novembre 2009
J'agrée en partie avec le raisonnement de mon confrère. En effet, utiliser des personnages quasi-fictifs ainsi qu'une figure d'autorité en guise de père est très courant dans le cas d'un "adulescent" en quête d'un géniteur.
Cependant, la haine qu'il porte à sa mère est partagée avec celle qu'il porte à une figure androgyne de son quotidien : M. Tickle. A la fois homme et femme, il bouleverse les sentiments de Jerry Stobbart qui, ne sachant que faire, se renferme d'autant plus dans la nourriture dont la teneur en matières grasse est inversement proportionnelle à leur goût (cf. épisode du fast-food), et dans ses enfantillages incessants.
Jerry est perdu, enfermé dans un cercle vicieux, confronté à lui-même et à ses questions trop longtemps restées sans réponses et refoulées.
Clerin a dit Fail le samedi 14 novembre 2009
Fail c'est pas un gateau c'est une crotte dans un journal
Personne n' a dit ça, sisi le samedi 14 novembre 2009
En effet c'est plausible : Si jamais la mère de Jerry avait préparé une crotte au lieu d'un gateau pour empoisonner ses ravisseurs ?Et que Jerry aurait pensé à la blague de la crotte dans un journal enflammé ?
Ale a dit petite semaine le dimanche 15 novembre 2009
On se croirait chez Mireille Dumas.
Clerin a dit Faux le dimanche 15 novembre 2009
Chez Mireille Dumas tu vois plus souvent ce sourire de pro-psychopathe

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